Superbe rentrée pour l’Echo du Oan’s qui a eu le privilège d’accueillir le groupe Mermonte dans le cadre de la semaine I’m From Rennes.

Pour cette nouvelle saison, l’émission s’est dotée de nouveaux équipements pour améliorer le confort du public et des groupes invités : nouvelle sonorisation, nouveau décor, un écran dans la deuxième salle du Oan’s Pub pour que le public coincé au bar puisse suivre le concert.

Les membres du groupe Mermonte avaient aussi vu les choses en grand. La formation au complet, accompagnée de tous leurs instruments, ont comblé l’arrière salle du Pub. C’était un peu comme rentrer un éléphant dans une boite de sardines. Qu’importe ! Les auditeurs sont sortis, une fois de plus, bluffés par leur prestation.

Article Alter1fo.

C’est par un cri de liberté d’expression que Ced ouvrait cette nouvelle émission de l’Echo du Oan’s. La musique adoucit les moeurs et c’est dans une ambiance d’entre deux tours, que l’équipe de l’Écho du Oan’s a accueilli William et ses acolytes.

Il nous présente donc son premier EP « Fire Lady » et nous parle de ses futures pérégrinations. Il participera d’ailleurs au tremplin Mozaïc le jeudi 3 mai 2012 à l’Etage au Liberté.

Venus en trio : contrebasse, deux guitares, harmonica, banjo et voix, le « band » maîtrise parfaitement son sujet. Très inspirés des consonances nord américaines, on s’est très facilement plongé dans l’univers de William Josh Beck, notamment grâce à sa voix posée et assurée, en opposition à son tempérament très réservé. Ça fonctionne très bien… La contrebasse et la guitare lead, rythment et supportent les mélodies vocales de William, sans hésitations et avec talent.

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En pleine résidence à l’Antipode pour son nouveau spectacle, elle est désormais accompagnée sur scène de Pierre Marolleau (Fordamage, We Only Said), Loïg Nguyen (We Only Said) et Yoann Buffeteau (Montgomery) pour défendre son nouvel album Get Your Soul Washed.

Elle était également samedi 10 mars 2012 en concert à l’antipode dans le cadre du festival « Les Embellies ».

Pour nous, elle a cependant joué avec les règles de l’émission et nous a proposé une version solo de ses nouveaux morceaux. Au cours de l’entretien vous pourrez découvrir 3 extraits en exclusivité de son nouvel opus, qui s’annonce très réussi.

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L’enregistrement de la vingtième émission de l’Echo du Oan’s a rempli une fois de plus sa vocation : faire découvrir un artiste de la scène rennaise dans une configuration intimiste et privilégiée. L’équipe de l’Echo du Oan’s vous invite chaque mois à assister nez à nez , comme si vous étiez dans leur chambre, à la prestation d’une formation musicale.

Mein Sohn William alias Dorian Taburet, leur a rendu visite juste avant la sortie de son premier album. Son style musical est difficilement classable, tellement son approche de la musique sort des sentiers battus.

Un petit orgue à l’ancienne, une guitare acoustique, un sampleur, une boite à rythme, une console de mixage… Et une multitude de pédales d’effets qui lui permettent de boucler ses instruments, afin de superposer les sons. Cette technique lui donne accès à la construction de morceaux aussi délirants les uns que les autres et simule l’action d’un groupe entier.

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C’est dans une ambiance hivernale que Ced a accueilli les trois membres du band The 1969 Club. 2 garçons et une fille, plusieurs possibilités : Blues/Garage/Rock’n’roll/Disco-Punk.

Ils ont fait honneur à l’émission en adaptant leurs morceaux avec une formule minimaliste : grosse caisse, tom bass, guitare électrique, chant. Résultat surprenant !

On n’a pas pu résister à la voix irrésistible de la chanteuse et son bagou communicatif. Ni aux riffs parfaitement interprétés du guitariste, le tout rythmé et emmené par un batteur. Le public s’est pris au jeu en participant au morceau a capella de Marie, la chanteuse, en frappant dans les mains, transformant le Oan’s Pub en grande messe gospel. Poilant !

Tous, étions ravis de découvrir ou redécouvrir ce jeune groupe au talent scénique sauvage et spontané. Ced les a également testés avec un Blind Test spécial année 1969, vous saurez s’ils ont su relever le défi en écoutant le podcast de l’émission.

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Wonderboy était l’invité de la première édition de la saison 3 de l’Echo du Oan’s. Heureux étaient les participants de ce nouvel épisode.

Depuis la sortie de son album en novembre 2010, réalisé seul dans une démarche « fait-maison », Wonderboy a eu l’occasion de se produire seul avec ses boites à rythmes. Mais, depuis peu, les arrangements de l’album se sont vu s’enrichir avec la participation d’un batteur-guitariste et d’un bassiste. Ballades rock ténébreuses et sales, le son de Wonderboy, fait référence aux artistes outre atlantique.

La combinaison de la vieille boite rythme analogique et des guitares reverb s’entrechoque à merveille. La voix inspirée et posée de Wonderboy, nous transporte.

L’arrivée des deux nouveaux compagnons apporte quelque chose de nouveau au projet solo, et donne une vraie dynamique aux compositions. Le trio fusionne et ça sonne. Vous pourrez retrouvez Wonderboy sur la tournée des Transmusicales et le 2 décembre à l’UBU pendant le festival.

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Et oui, c’est déjà fini pour cette année ! Le dernier enregistrement de l’Echo du Oan’s a été un grand succès. La présence des Bikini Machine n’y a pas été étrangère. 150 personnes au Oan’s Pub se sont bousculées pour entre-apercevoir la prestation du Band.

On vous avait promis une version acoustique du groupe, mais la sagesse musicale de cette formation incontournable de la scène rennaise n’est pas encore à l’ordre du jour. Tant mieux !

Décharges électriques et rock n roll fiévreux au programme de cette 17ème édition. Les voisins ne s’en sont pas plaints…

Durant l’entretien, ils nous racontent leur dernière création : la réinterprétation de la bande original du film Desperado de Robert Rodriguez. Vous aurez l’occasion d’écouter un extrait de cette expérience dans le Podcast.

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Édition de l’Echo du Oan’s sous influences électroniques. C’était la première fois que l’émission accueillait un DJ, et le public a une fois de plus répondu présent à cette invitation.

Matmon Jazz est mené par DJ Ordoeuvre au platines et labtop, sans oublier les apparitions de Céline au microphone pour des interprétations vocales impeccables. Hip Hop, Jazz, Scratch, sampling, RnB, soul… Le projet Matmon Jazz se profile idéalement pour les afters des festivals de Jazz ou de Blues…

Les solos scratchés nous font entendre du saxophone, de la guitare slide, des violons, de la trompette… Une approche très mélodique du turntablism, très plaisant !!! Céline rajoute au projet une sensibilité soul et jazz, qui nous rappelle les grandes chanteuses de la discipline. Accordage parfait entre les platines et sa voix…

Ced les questionne pour en en savoir un peu plus sur ce projet récent.

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Prestation impeccable de Del Cielo, avec leur pop rock qu’ils qualifient « d’hors pistes ». Liz Bastard nous a enchanté avec sa guitare et sa voix douce et timide, mais toujours aussi « trash » et inquiétante dans ces textes… Un contraste qui s’équilibre parfaitement sur les cadences tendues de Gaël Desbois. Il joue de la batterie debout en compagnie de son laptop, un jeu progressif et un son juste qui donnent aux nouvelles compositions une originalité organique.

Pour Julie, de « And a Boogie Woogie will draw their path on a resonant land… », contraste à nouveau entre la personnalité de l’artiste et sa musique. D’un naturel très énergique, elle nous propose un song writing planant et imperturbable qui nous plonge dans un univers très cinématographique à l’effigie d’un road movie… Sa traversée des Etats-Unis d’Est en Ouest est à l’origine de son inspiration. Guitare sèche et boucle d’effets lui serviront de support à sa voix spontanément délicate et juste.

Del Cielo et And a Boogie Woogie… répondent aux questions fureteuses de Ced…

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Dans le cadre du festival Les Embellies, Alden Penner était de passage à Rennes.

L’occasion d’en savoir plus sur cet artiste à l’activité insatiable. Membre du groupe The Hidden Words, il est venu seul défendre ce nouveau projet aux influences folk. Résidant à Montréal, cet anglophone nous a régalé de ballades profondes et mystérieuses. Chansons en anglais, en français, en espagnol, le répertoire d’Alden Penner nous invite à une forme de conscience universelle au croisement des religions et des philosophies.

Je chante, donc je suis.

A la recherche d’une symbiose politique et artistique, il oscille entre conversations lucides et extase musical. Tel un Clochard Celeste, Alden Penner nous aura amicalement mystifié…

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